Éviter de nommer passions les transitions passives
Vivre, c’est aussi pâtir et pas seulement agir. Or, s’il est aisé de qualifier d’actions les transitions actives, qualifier de passions les transitions passives, résultant de forces externes, c’est risquer de les confondre avec les « passions de l’âme », qui sont d’abord des forces internes.